Wolff complice : "Globalement, c'est bien de voir qu'il y a une pénalité".

"Je pense que ce qui est le plus important pour moi, c'est la gouvernance robuste. Ils n'ont pas sourcillé," a déclaré Wolff à Sky Sports, avant d'ajouter qu '"ils ont juste suivi le processus et comment ça s'est passé. Frederico et son équipe, Shellie Ann et Nicholas ont été absolument bons dans l'évaluation. Je sais à quel point ils ont été rigoureux avec nous tout au long de l'année. C'était un processus rigoureux."

Plus que de simples chiffres

En approfondissant la question, Wolff a expliqué à quel point c'était important et que ce n'était pas seulement de la "comptabilité". Il a déclaré : "C'est une liste de choses qui est plus précise. Tu dois suivre le temps des gens. Quand quelqu'un travaille à 80 % en F1, tu dois vraiment faire un check-in et un check-out comme un avocat. C'est un jeu relatif. C'est un sport de gains marginaux. Nous devions tous couvrir les indemnités de maladie, les congés de jardinage et la cantine. Donc, neuf équipes étaient correctes et une était en infraction."

Un préjudice de réputation pourrait être causé par une violation

L'Autrichien a terminé en expliquant que des dommages bien plus importants pouvaient être causés qu'une simple violation financière et des sanctions sportives, "ce que tu vois au-delà d'une pénalité sportive, ce sont des amendes financières et des dommages à la réputation. Dans un monde de transparence et de bonne gouvernance, ce n'est tout simplement plus d'actualité. En termes de conformité, l'équipe que tu es, tu représentes une marque et tes partenaires."

Wolff a également déclaré que la majorité des coûts de l'entreprise sont liés au marketing, pour lequel ils dépensent 25 millions de livres, suivi de près par le coût des pilotes. L'équipe a pu respecter le plafond budgétaire en suivant la stratégie d'Alpine qui consiste à placer un tampon dès le début, pour minimiser le risque de dépassement.