La FIA réagit

Récemment, l'Emirati a été critiqué par Liberty Media et les équipes de F1. Par exemple, ils ont été agacés par des déclarations sur l'avenir de la Formule 1 et des déclarations antérieures qu'il a faites sur les femmes. Il n'est absolument pas étrange de soupçonner que son recul a été provoqué par tous ces incidents. Pourtant, selon la FIA, ce n'est pas du tout le cas.

Un porte-parole de la fédération de sport automobile révèle dans une déclaration à divers médias qu'avant même la nomination de Ben Sulayem, il avait été décidé que le président se retirerait à un moment donné de certaines de ses fonctions : "Le manifeste du président a clairement exposé ce plan avant son élection. Le président de la FIA a de nombreux domaines d'intérêt, notamment le sport automobile mondial et la mobilité. Maintenant que la réorganisation structurelle de la Formule 1 est terminée, il s'agit d'une prochaine étape naturelle.Il s'est engagé à "nommer un PDG de la FIA pour assurer un fonctionnement intégré et aligné", ainsi qu'à "introduire un cadre de gouvernance révisé" sous la direction d'une "équipe dirigeante axée sur la transparence, la démocratie et la croissance". (...) Le président de la FIA a un large mandat qui couvre l'ensemble du sport automobile mondial et de la mobilité, et maintenant que la réorganisation structurelle de la Formule 1 est terminée, il s'agit d'une prochaine étape naturelle."

Ben Sulayem a informé les équipes dans une lettre cette semaine qu'il sera moins actif dans les opérations quotidiennes. La FIA n'a confirmé la nouvelle qu'après qu'elle soit sortie par les médias britanniques.