Daniil Kvyat se confie sur l'absence de Spa au calendrier

Les dernières rumeurs en provenance du paddock sont les suivantes : le Grand Prix du Japon se déplacerait en avril en 2024, l'Afrique du Sud resterait une option sérieuse - à condition que le gouvernement l'aide financièrement - et Madrid finirait par reprendre le Grand Prix d'Espagne à Barcelone. Avec l'arrivée imminente d'Audi en Formule 1, même un Grand Prix allemand serait une option. Tout comme le Grand Prix de France l'est soudain à nouveau, à peine un an après avoir été supprimé du calendrier.

Incertitude pour Spa

En principe, 24 Grands Prix sont prévus pour l'année prochaine, soit un de plus que pour la saison en cours. Parmi les courses actuelles, une seule épreuve n'a pas de contrat pour l'année prochaine : le Grand Prix de Belgique. Comme on le sait, Spa aurait une nouvelle chance si Kyalami (Afrique du Sud) n'arrivait toujours pas à décoller. Il n'y a aucun engagement pluriannuel entre la FOM et le Grand Prix de Spa.

Il reste donc très incertain que la F1 continue d'opérer sur le circuit distinctif des Ardennes belges après cette saison. Il est donc possible qu'un favori des pilotes disparaisse, ce qui est incompréhensible pour de nombreux fans de course automobile."Eh bien je ne sais pas, maintenant en Formule 1 il se passe beaucoup de choses, également très politiques, certains messages dans la presse", a déclaré Daniil Kvyat, au micro de GPblog, à propos de l'avenir des courses en F1. "Je pense que tout est calme, il y a des raisons pour que quelqu'un baisse le prix ou paye la course ou accueille la course, quelqu'un lance une rumeur dans les médias. Donc je ne sais pas ce qui se passe en interne, mais tant qu'il n'y a pas de nouvelles officielles qui sortent, ça ne sert à rien."

Un grand circuit

Ainsi, même si rien n'a été définitivement décidé, il y a de l'espoir pour Spa-Francorchamps. "Il y a déjà eu des discussions dans le passé, combien d'années de suite on entend que Monaco va être abandonné, Spa, Monza. Finalement, il reste, bien sûr il y a des discussions, il doit y avoir une sorte de lutte politique là-dedans, que les gens du circuit et de la Formule 1 essaient de régler. C'est un grand circuit, mais c'est prouvé maintenant, il est si populaire, mais pouvons-nous survivre sans lui ?", s'est interrogé Kvyat à voix haute.

Les organisateurs du Grand Prix de Belgique espèrent eux-mêmes qu'il y aura une prolongation du contrat expirant avec la FOM, comme cela a été révélé récemment.