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Inquiétudes concernant l'air pollué après le GP de Bahreïn

Inquiétudes concernant la pollution de l'air en Formule 1

7 mars à 14:31
Dernière mise à jour 7 mars à 14:37
  • GPblog.com

Après le Grand Prix de Bahreïn, le sujet de l'air vicié est revenu sur le tapis en Formule 1. L'air sale rend plus difficile les dépassements ou la vitesse pendant une séance, ce qui peut nuire aux chronos. George Russell, Charles Leclerc et Nico Hulkenberg expliquent leurs conclusions sur le sujet après le Grand Prix de Bahreïn.

Leclerc et Russell à propos de l'air pollué à Bahreïn

Leclerc déclare : "J'ai entendu cela (les discussions dans le paddock sur l'air pollué, ndlr). Cependant, de notre côté, cette année est un peu meilleure par rapport à l'année dernière. Donc je ne sais pas si cela fait partie des caractéristiques que nous avons améliorées par rapport à l'année dernière, qui rendait notre voiture très difficile à conduire. Mais cette année, c'est plutôt mieux pour nous de suivre."

Russell en fait une expérience légèrement différente de celle de Leclerc, expliquant qu'elle ne s'améliore pas nécessairement. "Je ne dirais pas que ça devient plus facile. C'est soit la même chose, soit un peu moins bien. Mais je pense que c'est tout à fait naturel puisque nous nous éloignons tous de plus en plus du règlement initial."

Hulkenberg : "Cela diffère selon la voiture"

Le pilote Mercedes fait référence au règlement technique de la Formule 1, en vigueur à partir de 2022, à savoir le règlement sur l'effet de sol. Cela garantit que la force descendante doit moins venir par les ailes mais est principalement générée par le sol, ce qui, par conséquent, produira moins d'air sale.

Hulkenberg fait également un commentaire. "Cela dépend probablement de la voiture. Certaines voitures le supportent mieux que d'autres. Je pense, comme le dit George, que ça ne va certainement pas s'améliorer", explique l'Allemand.