L'admiration des médias internationaux pour Verstappen : La course a été sa vitrine

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L'admiration des médias étrangers pour Bearman après le GP de Djeddah
10 mars à 09:56
  • GPblog.com

Le fait que Max Verstappen disparaisse à l'horizon après le départ d'une course de Formule 1 n'est plus considéré comme spécial. Au Grand Prix d'Arabie saoudite aussi, il n'a pas cédé la tête un seul instant, à l'exception des arrêts aux stands. Sergio Perez a complété la fête pour Red Bull Racing en faisant un 1-2. Pourtant, c'est Oliver Bearman, débutant chez Ferrari, qui a particulièrement impressionné.

Marca

"Lando Norris et Lewis Hamilton ont surpris en étant incapables de battre Oliver Bearman, qui faisait ses débuts chez Ferrari en raison de l'appendicite de Carlos Sainz. Lewis commence à s'habituer au milieu du peloton, après le parcours le plus dominant d'une marque dans l'histoire de la F1. Cela montre une fois de plus que personne n'est au-dessus de la voiture", a déclaré le journal espagnol Marca.

La Gazzetta dello Sport

Le journal italien La Gazzetta a été impressionné par Verstappen et Bearman. "Le GP d'Arabie saoudite a été une nouvelle vitrine pour Max Verstappen, qui a dominé et s'enfuit déjà au championnat du monde. Red Bull a surmonté l'obstacle avec la deuxième place de Sergio Perez. Ferrari a consolidé sa deuxième place au championnat avec la troisième place de Charles Leclerc. Mais le grand protagoniste aux côtés de Verstappen a été Oliver Bearman, qui a su décrocher une septième place pour ses débuts en F1."

The Guardian

"L'avenir de Max Verstappen au sein de Red Bull Racing est peut-être remis en question, car la tourmente qui engloutit son équipe a une fois de plus éclipsé la course, mais sa valeur en tant que pilote ne l'est absolument pas, comme il l'a prouvé avec une conduite absolument dominante pour remporter le Grand Prix d'Arabie saoudite", écrit The Guardian.

Le journal britannique est impressionné par le calme que Verstappen parvient à garder au milieu de la tourmente qui règne au sein de son équipe. "En effet, alors que des machinations machiavéliques contorsionnent l'équipe autour de lui, Verstappen a donné un rappel salutaire qu'il pourrait être la monnaie d'échange la plus puissante de toutes dans la lutte de pouvoir qui menace de déchirer Red Bull."

L'Equipe

"En Arabie saoudite, la crise chez Red Bull sans effet sur un Max Verstappen toujours écrasant", titre L'Équipe. "L'écurie Red Bull, malgré la crise qu'elle traverse dans le paddock, continue de martyriser en piste la concurrence. Max Verstappen a remporté sa neuvième victoire d'affilée devant son équipier Sergio Perez."

Le journal français trouve admirable que l'équipe autrichienne de F1 reste à flot malgré toute la tourmente qui entoure le directeur de l'équipe Christian Horner et le conseiller Helmut Marko. Il établit même une comparaison avec Paris, qui a survécu à de nombreux revers dans son histoire. "Red Bull, comme la plus belle ville du monde, tangue mais ne coule pas. Du golfe Persique à la mer Rouge, en dépit des bouillonnantes tempêtes, des vents contraires et des tirs croisés, l'armada bleue poursuit son invincible avancée. Deux courses, deux doublés sans aucune contestation. Ou alors à peine."