Verstappen révèle s'il a parlé avec le président de la FIA après le GP de Singapour.
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Max Verstappen n'a encore rien entendu de la part de la FIA concernant la pénalité pour travaux d'intérêt général qui lui a été infligée lors du week-end du Grand Prix de Singapour. Le pilote de Red Bull Racing affirme également qu'il n'a pas eu de contact avec le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, qui souhaite réduire les jurons en Formule 1.
Les modifications apportées par Red Bull à sa voiture de F1 font couler beaucoup d'encre. L'équipe a apporté des changements après avoir consulté la FIA, qui avait été mise au courant d'une "astuce" potentielle. Cependant, un autre problème entoure l'organe directeur : la pénalité pour travaux d'intérêt général dont Verstappen a écopé pour avoir utilisé un gros mot lors d'une conférence de presse à Singapour.
Verstappen a-t-il entendu parler de sa pénalité ?
"Je n'ai rien entendu. Donc... oui. Pour moi, cela ne change pas grand-chose", a déclaré Verstappen avant le GP des États-Unis. "Je préfère aussi parler moins. Donc c'est bien de toute façon pour moi", a-t-il ajouté. Lorsqu'on lui a demandé s'il prévoyait de répondre plus longuement aux questions posées lors de la conférence de presse cette fois-ci, il a répondu de manière quelque peu énigmatique : "Ça dépend aussi de la complexité des questions".
Le triple champion du monde a précisé qu'il s'exprimera, mais a réitéré qu'il préférait les séances avec les médias en dehors des conférences de presse officielles. De nombreux pilotes ont soutenu Verstappen et il est possible que la FIA s'attende à une autre lettre de la part du GPDA, le syndicat des pilotes. "À la fin de la journée, chacun a sa propre opinion, mais je pense qu'il est assez clair que [...] C'était, comme je l'ai déjà dit, un truc idiot", a déclaré Verstappen.
Verstappen n'a pas eu de contact avec le président de la FIA, Ben Sulayem
Verstappen n'a pas eu de nouvelles du président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, depuis le GP de Singapour. "Je suis toujours ouvert à une discussion, mais [...] De mon côté en ce moment, ce n'est pas moi qui dois tendre la main à ce genre de choses. Je vis simplement ma vie, je continue, rien ne change."
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