Un ingénieur de Red Bull se souvient d'avoir paniqué à l'idée d'un quasi 2e DNF pour Verstappen en 2024.

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Max Verstappen a failli connaître un deuxième DNF dans la saison 2024 de la F1.
19 octobre à 14:00
Dernière mise à jour 19 octobre à 14:04
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Un ingénieur de Red Bull a révélé que Max Verstappen était à deux doigts d'enregistrer un deuxième DNF au cours de la saison 2024 de Formule 1. L'équipe autrichienne a dû résoudre le problème en un seul tour, sinon le Néerlandais aurait abandonné la course.

Lando Norris et Max Verstappen se battent pour le titre. Le pilote McLaren a un écart de 52 points à combler alors qu'il reste six Grands Prix et trois sprints à disputer. Cependant, un mécanicien de Red Bull a révélé qu'il s'en est fallu de peu pour que l'écart soit beaucoup plus mince. Cela aurait été un bonus pour Norris, car il doit déjà optimiser tous les week-ends restants.

Norris a failli avoir un bonus

Verstappen a remporté les deux premières courses de la saison 2024 de Formule 1, étendant sa série de victoires à neuf courses, y compris les dernières courses de 2023. Cette série a pris fin lors du grand prix d'Australie. Ses freins ont surchauffé et il a abandonné. Michael Manning est en fin de compte chargé de veiller à ce que les départs de Red Bull se fassent en douceur. Il a expliqué à De Telegraaf que Verstappen était proche d'un deuxième DNF au cours de la saison.

"Il y avait alors un problème de capteur avec l'embrayage. Dans un moment comme celui-là, nous devons comprendre très rapidement, en l'espace d'un tour, quel est le problème et régler les choses. Sinon, l'embrayage aurait cassé et il aurait abandonné", a expliqué Manning. Il n'a pas précisé lors de quel Grand Prix cet incident s'est produit.

L'ingénieur de course de Verstappen, Gianpiero Lambiase, donne souvent des instructions à son pilote, comme fail-16 ou fail-20, pour l'aider à résoudre des problèmes de ce genre. Manning explique que Verstappen a dû effectuer des changements sur son volant. "Dans ce cas, il s'agissait de désactiver ce capteur. Cela a fonctionné, heureusement. Les voitures d'aujourd'hui sont très fiables, mais c'est un exemple qui montre qu'il faut toujours continuer à tout surveiller", explique Manning.

Cet article a été créé en collaboration avec Nicole Mulder.