Verstappen est dégoûté par Russell : "Il ment"

''Ce n'est déjà pas juste'', a immédiatement répondu Verstappen lorsqu'il a été confronté aux déclarations de George Russell. Selon le Britannique, Verstappen a menacé de lui mettre la tête dans le mur et a déclaré que c'était Verstappen qui jurait déjà pendant les premières minutes de la réunion des commissaires au Qatar après leur affrontement en qualifications. ''Non, pas du tout'', a déclaré Verstappen à la table devant l'accueil à Abu Dhabi.

Selon le quadruple champion du monde, Russell fait exactement la même chose que lors du briefing des commissaires, aujourd'hui à Abu Dhabi. En d'autres termes, le pilote Mercedes est en train de raconter une histoire avec beaucoup d'émotion, mais avec très peu de vérité. ''Des choses comme ça ne me surprennent pas. Écoutez, je viens d'exprimer clairement mon opinion sur sa façon d'être. Bien sûr qu'il n'aime pas ça, mais c'est la même chose que ce qu'il a fait avec les commissaires. Mentir et assembler des choses qui n'ont pas de sens".

Aux médias britanniques, Russell est allé jusqu'à traiter Verstappen de brute, cependant, le Néerlandais ne peut que rire de ces remarques : ''Oui, et c'est un poignardeur dans le dos. Vous ne devriez pas trop parler de gens comme ça, parce que ce ne sont que des perdants''.

Verstappen s'en prend à Russell

Là où Russell a accusé Verstappen et Horner de l'avoir attaqué personnellement, l'actuel quadruple champion du monde sait qu'il a obtenu le meilleur d'eux à la fin : ''Nous rions en dernier, parce que nous avons gagné cette course à la fin. Ils sont partis en pole à cause de ce pinaillage des commissaires, mais trois cents mètres plus tard, ils sont de nouveau derrière moi''.

Russell n'a pas été ému par les commissaires, selon Verstappen, mais à l'avenir, il sait exactement ce qu'il faut faire : ''J'apporterai mes mouchoirs aux commissaires la prochaine fois'', a plaisanté le pilote Red Bull, qui a ajouté qu'il ne trouvait pas nécessaire de recevoir ce type de soutien de la part de son chef d'équipe. ''Je n'ai pas besoin de ça, je peux très bien articuler tout seul''.

''Vous n'avez pas nécessairement besoin de dire tout ce qui s'est passé. Il essaie ensuite d'aggraver la situation, ce que je ne supporte pas non plus. Comment il m'attaque ensuite auprès des commissaires. Et puis le lendemain, il arrive gentil et heureux, genre, hé. Ouais, alors tu ferais mieux de rester à l'écart pendant un moment", a conclu Verstappen.