Horner est-il d'accord avec Verstappen sur la position de Red Bull ? Voici ce qu'il dit
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Lors du week-end du Grand Prix de Chine, Max Verstappen a été clair dans son évaluation : il considérait Red Bull Racing comme la quatrième équipe sur la grille à ce moment-là. Christian Horner est-il d'accord avec les déclarations de son pilote ? Le patron de l'équipe Red Bull répond.
Horner a admis que Red Bull n'était clairement pas au niveau de McLaren, en particulier dans le premier relais de la course. "Nous étions à 0,17 de la pole et nous étions aussi rapides dans le deuxième relais qu'une McLaren. Nous savons donc qu'il y a des domaines dans lesquels nous devons améliorer la voiture et il y a une feuille de route de développement qui est prévue, pour vraiment trouver un peu plus de rythme et mettre beaucoup de pression sur les McLaren devant. Elles ne sont pas si loin devant", a-t-il déclaré dans le paddock du circuit international de Shanghai.
Horner est d'accord avec Verstappen ?
Interrogé sur le commentaire de Verstappen selon lequel Red Bull est actuellement la quatrième meilleure équipe en termes de rythme pur, le patron de l'équipe Red Bull a répondu : "Je pense que tout est subjectif en fonction du jour où vous êtes. Aujourd'hui, McLaren est la référence, ils ont gagné les deux premières courses, c'est eux que nous devons battre, Max travaille plus dur que je ne l'ai jamais vu en termes d'efforts pour donner une vraie direction à ce dont il a besoin de la voiture pour trouver ce rythme manquant."
Même si Horner reste prudent quant aux perspectives des courses à venir, il voit aussi des signes positifs. "Nous avons beaucoup d'informations, de données et de retours de la part du pilote. Le deuxième relais a été plus prometteur. Si tu regardes les temps au tour de la dernière partie de la course, même son dernier tour était très compétitif.
"Pourquoi était-il compétitif ? De quoi a-t-il besoin en termes d'adhérence ? Ce n'est pas tant un problème d'équilibre qu'il rencontre, il s'agit simplement d'extraire davantage du pneu", explique le Britannique de 51 ans.
En ce qui concerne les progrès qui peuvent être réalisés en vue du Japon, il reste prudent. "Qui sait ? Encore une fois, cela dépend de ce que font les autres. Nous connaissons les domaines sur lesquels nous travaillons. Évidemment, nous continuerons à chercher à apporter de la performance à la voiture et nous le saurons dans deux semaines", conclut Horner.