Verstappen sur le défi : "Les voitures sont moins prévisibles".
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Max Verstappen doit essayer de battre Charles Leclerc depuis la deuxième place lors du Grand Prix de France de dimanche après-midi. Avec Sergio Perez derrière lui, le champion du monde en titre est plein de confiance, comme il l'a révélé dans une interview avec Viaplay.
Ferrari a choisi de laisser Carlos Sainz, qui devra commencer la course depuis l'arrière en raison d'une pénalité sur la grille, conduire devant Leclerc pendant les qualifications. En conséquence, le Monégasque a réussi à obtenir la pole position. Selon Verstappen, son équipe aurait pu faire de même.
"Bien sûr, cela aurait aidé", déclare-t-il, après quoi il évoque également les inconvénients de cette possibilité. "Checo et moi essayons de tirer le meilleur parti des qualifications parce que nous n'avons pas de pénalités. Et chez Ferrari, Carlos a de toute façon une pénalité. Je comprends donc pourquoi ils font ça."
Verstappen remarque les problèmes des nouvelles voitures
Les problèmes en qualifications ne sont pas nouveaux pour Red Bull. "Au début de la saison, c'était plus du sous-virage. Mais en général, ces voitures sont moins prévisibles sur un tour. Cela rend les choses un peu plus difficiles. D'un autre côté, c'est la même chose pour tout le monde, donc il faut s'adapter."