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Ferrari voit Bearman prêt pour la F1 en 2025 : "Cela en dit long"
- GPblog.com
Oliver Bearman a passé son examen de passage en F1 avec brio. Remplaçant Carlos Sainz, il a soudainement dû monter dans la Ferrari sans préparation samedi et dimanche en Arabie saoudite. Le Britannique a impressionné lors de la course en terminant à la septième place. Chez Ferrari, on pense que Bearman est prêt pour un siège permanent en 2025.
Remplacement de Sainz
Carlos Sainz a dû abandonner sur le circuit de la Corniche de Jeddah en raison d'une appendicite. Bearman - déjà présent en Arabie Saoudite en raison de sa campagne de Formule 2 - a été désigné par Frédéric Vasseur pour remplacer l'Espagnol.
Jock Clear - responsable de la Ferrari Driver Academy - a révélé dans le F1 Nation Podcast qu'il avait été impressionné par la performance du pilote encore seulement âgé de 18 ans. "J'étais convaincu avant cela et je pense que le fait que Fred ait été assez courageux pour le mettre dans cette voiture ce week-end, dans ces circonstances, en dit long sur ce que nous avons déjà vu de lui."
Clear qualifie la performance de Bearman de "meilleure que ce à quoi nous pouvions nous attendre". Cependant, l'ingénieur d'origine soutient simultanément qu'il ne faisait aucun doute au sein de Ferrari que le remplaçant de Sainz mettrait un tel niveau sur le tapis. "Je ne veux pas minimiser ou diminuer l'accomplissement, nous sommes vraiment, vraiment aux anges avec tout, mais nous l'avons en quelque sorte mis là en pensant : "Je pense qu'il peut le faire". Et il a absolument justifié ce choix."
La Formule 1 pour Bearman en 2025
Bearman est-il prêt pour une saison complète de pilotage dans la catégorie reine du sport automobile l'année prochaine ? "Je pense que oui", répond Clear. La plus grande opportunité pour Bearman semble se trouver chez Haas F1. Là, les contrats de Nico Hulkenberg et Kevin Magnussen arrivent à échéance, et ce dernier en particulier devra commencer à être plus performant s'il veut être pris en compte pour un nouvel engagement. La formation américaine achète encore beaucoup de pièces à Ferrari, les Italiens ont donc un doigt dans la plaie.