Alonso jugé injustement comme Schumacher : "Ce que l'on voit, ce n'est pas ce que l'on trouve dans l'équipe".
F1 News
- GPblog.com
Fernando Alonso est souvent considéré comme un personnage difficile, étant donné la façon dont il interagit avec certains éléments du paddock de la F1. Rob Smedley, ancien ingénieur de course chez Ferrari pour Felipe Massa, propose cependant une vision totalement différente de ce qu'est réellement l'Espagnol et le compare à un autre personnage très controversé, la légende de la F1, Michael Schumacher.
"Ce que tu vois de l'extérieur n'est pas ce que tu as à l'intérieur. Fernando est un personnage très réservé", a déclaré Smedley dans DECOD3D de DAZN.
Le fait qu'Alonso soit compétitif ne devrait surprendre personne, et en tant que tel, c'est le type de pilote que tu veux avoir dans ton coin. "La personnalité que tu vois n'est pas celle que tu trouves dans l'équipe. Fernando est très compétitif, un véritable atout pour l'équipe. Il veut toujours gagner, à n'importe quel prix. Cela fait de lui quelqu'un que vous voulez avoir à vos côtés. Vous avez désespérément besoin de lui dans votre équipe parce qu'il est si dur et si intense qu'il contamine les gens avec ce désir d'être devant."
Alonso ressemble beaucoup à Schumacher
À de nombreuses reprises, l'Espagnol s'est retrouvé dans l'œil du cyclone en raison de la façon dont il interpelle son équipe sur la radio de bord. "Parce que, comme Michael, il arrive qu'un problème échappe à tout contrôle, mais c'est quelque chose qui arrive à tout le monde". En effet, à de nombreuses reprises, nous avons entendu des messages radio de Max Verstappen, Lewis Hamilton, Charles Leclerc et cie courroucés, révélant leur profond désir et besoin de gagner.
"Fernando est comme Michael. Michael avait cette perception extérieure qu'il était arrogant, robotique et une personne terrible... mais il était en fait un être humain merveilleux. Il était très généreux. Il était humble. Il avait de l'humilité. Il doutait de lui-même, et c'est ce qui lui a permis de devenir aussi grand qu'il l'était. Il savait qu'il ne pouvait pas le faire sans son équipe et il était généreux avec elle", conclut Smedley.
Tu veux plus de Formule 1? Alors suis GPblog sur nos différents canaux de médias sociaux !