Ferrari pessimiste quant à ses chances à Bahreïn, mais espère toujours se battre en tête

12:00, 10 avr.
Mis à jour: 19:15, 10 avr.
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Ferrari a connu un début de saison difficile après les trois premières manches. Alors que la saison se poursuit avec le GP de Bahreïn, le directeur d'équipe Frederic Vasseur a déjà tempéré les attentes, même si un lueur d'espoir est là.

Mis à part la victoire en Sprint de Lewis Hamilton au GP de Chine - qui était la première dans l'événement à la fois pour le pilote et l'équipe depuis son introduction en 2021 -, le début de la saison 2025 de la Scuderia a été difficile.

Ils n'ont pas encore réussi à monter sur le podium un dimanche non plus, et ne sont que quatrièmes au classement des constructeurs derrière les rivaux McLaren, Mercedes et Red Bull Racing.

Même si les équipes ont déjà rassemblé de nombreuses données du circuit à venir sur le calendrier actuel, le directeur d'équipe Vasseur est resté prudent avant le week-end.

"Avec la quatrième course de la saison qui se déroule à Bahreïn, nous avons l'opportunité de voir dans quelle mesure nous avons progressé avec la SF-25 en termes d'extraction de son potentiel depuis notre dernière venue pour les essais de pré-saison à la fin du mois de février," a-t-il commencé.

"Nous ne sommes pas là où nous voulons être en termes de performance de la voiture, et nous travaillons dur dans le but de faire des progrès solides. Cela sera notre principal objectif à Sakhir, avec le soutien de ceux qui travaillent à l'usine à Maranello."

Vasseur n'a pas encore écarté tout le week-end

Cependant, le Français n'a pas encore tiré de conclusions. "Même le plus petit détail peut être important pendant le week-end, car gagner juste un dixième de seconde peut signifier être devant certains de nos rivaux, aussi bien lors des qualifications du samedi que lors de la course du dimanche," a-t-il ajouté.

Après trois week-ends de Grand Prix, Charles Leclerc et Lewis Hamilton occupent respectivement les sixième et huitième positions au classement des pilotes.

Cet article a été écrit en collaboration avec Marnik Kok