Lewis Hamilton demande de la patience envers Ferrari, estimant que la pression médiatique crée une crise inexistante. Confiant en l’avenir de la Scuderia, il rappelle que des ajustements à court et long terme sont nécessaires pour construire une équipe à la hauteur de son histoire. Lewis Hamilton prend la défense de
Ferrari, qu’il rejoint en 2025, face à un début de saison en demi-teinte. Pour le Britannique, la Scuderia n’est pas en crise, malgré l’absence de podiums : c’est plutôt le monde extérieur qui en fabrique une.
À Djeddah, le septuple champion du monde a été clair lorsqu’on lui a demandé si Ferrari traversait une crise : "Oui", a-t-il répondu, mais en référence à la création artificielle de celle-ci. "C’est à prévoir, Ferrari est la plus grande équipe de l’histoire de la F1. Il y a plus de projecteurs, plus d’histoires, et tout le monde a une opinion", explique-t-il.
Une équipe sous pression… mais en construction
Hamilton appelle à la patience, conscient que les attentes sont immenses, notamment en Italie. "On ne peut pas changer les choses du jour au lendemain", souligne-t-il, insistant sur l’importance d’ajustements progressifs : certains à court terme, d’autres plus profonds et sur la durée.
Il insiste aussi sur la nécessité de protéger l’équipe. "Tout le monde donne tout ce qu’il a. Ils vivent les hauts et les bas ensemble, comme sur des montagnes russes."
"Je n’ai aucun doute que nous y arriverons"
Malgré les difficultés actuelles, Hamilton reste confiant dans le projet Ferrari. "Je n’ai aucun doute que nous arriverons là où nous prévoyons d’être. Ça va juste prendre du temps." Un message d’optimisme, qui tranche avec le climat de doute qui entoure actuellement la Scuderia.